CODESRIA Books

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Le quota est mort, vive le quota! Ou les vicissitudes de la réglementation de l’exploitation du charbon de bois au Sénégal (Printed)

Le quota est mort, vive le quota! Ou les vicissitudes de la réglementation de l’exploitation du charbon de bois au Sénégal (Printed)

 

Birago Diop nous rappelait déjà que « les morts ne sont pas morts! » Cette vérité hypothétique est peut-être valable pour le quota. En effet, malgré son élimination juridique, le quota résiste et continue d’exister. Sa « mort » annoncée tarde à se réaliser. La question n’est plus de savoir si le quota doit « mourir ». Sa « mort » est prononcée comme une sentence que le « bourreau » n’ose pas exécuter. La question est plutôt de savoir combien de temps va encore durer la « lutte contre la mort » que le quota a engagée. Le quota est « mort » juridiquement. Mais il a survécu dans la pratique. Aussi, le quota est-il à l’image d’un être « vivant surnaturel ». Il est né, a vécu, est mort et est ressuscité. Si sa naissance a été précipitée et sa vie tumultueuse, sa mort, elle, a été programmée et sa résurrection était prévisible. En fait, en 1996, le Sénégal se dote d’un code des collectivités locales qui prévoit le transfert de compétences de l’État vers les collectivités locales ; parmi ces compétences, la gestion de l’environnement et des ressources naturelles. Le code forestier de 1998 a clairement exprimé la volonté du législateur de consacrer la décentralisation forestière. C’est ainsi que le système du quota devait être supprimé depuis le 21 février 2001. Il devait être remplacé par l’aménagement qui transfère les compétences de gestion de l’exploitation forestière aux élus locaux. Cependant, les plans d’aménagement ont du mal à se concrétiser. Si, le code forestier du Sénégal de 1998 constitue un cadre propice pour réaliser une décentralisation dans le secteur forestier, conformément à la décentralisation politico-administrative, la décentralisation forestière reste inachevée. Elle reste bloquée en large partie par la survivance du système des quotas.

Le financement de l’éducation au Burundi (Printed)

Cette étude du Burundi réalisée par le Groupe de travail sur les finances et l’éducation fait un survol du système éducatif tout en analysant le contexte social, politique et économique du pays. Elle met en exergue la formulation et la mise en ouvre de la politique éducative passée et actuelle avant d’aborder les mécanismes de financement de l’éducation. Elle fait un examen approfondi de l’élaboration, de l’exécution et du contrôle du budget, ainsi que l’intégration de la planification, de la programmation et de la budgétisation à un niveau opérationnel. Elle aborde l’allocation et la gestion optimale des ressources de façon directe et fait l’étiologie et l’analyse de la problématique du financement de l’éducation. Elle propose une série de suggestions pour la recherche de solutions et de recommandations en vue de l’amélioration de la gestion financière du système éducatif, présente une analyse détaillée de la problématique de développement des collèges communaux, et retrace l’historique de l’implantation d’un nouvel établissement scolaire.

African futures and Childhood Studies in Africa” / ”Futurs africains et les études sur l’enfance en Afrique

African futures and Childhood Studies in Africa” / ”Futurs africains et les études sur l’enfance en Afrique  

 

L’idée centrale de ce livre est que les enfants africains sont des créateurs d’avenir. L’ouvrage explore les liens entre l’évolution de l’enfance et les versions de l’avenir de l’Afrique afin de comprendre comment les enfants sont des incarnations vivantes de l’histoire et des agents prospectifs du changement social. S’appuyant sur des recherches menées dans diverses écologies culturelles, les auteurs des dix chapitres discutent des résultats liés à l’apprentissage, à la formation, au travail, aux droits, aux écoles, à la paix, à l’éducation, aux aspirations, aux conflits et à l’intégration des réfugiés – et de la manière dont les enfants les appréhendent dans leur vie quotidienne. Ils décrivent des études menées au Bénin, au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire, en Éthiopie, au Kenya, en Afrique du Sud et au Zimbabwe. L’ouvrage va au-delà des notions hégémoniques sur les enfants africains, en leur donnant la capacité d’aspirer, en élargissant leur imagination créative de manière à approfondir notre connaissance des enfances passées et présentes. Tout en retraçant les problèmes de l’enfance dans les exigences de la société, les enfants ne sont conceptualisés ni comme des victimes ni comme des héros. Au contraire, ils sont des participants sociaux dont les expériences, les valeurs, les désirs, les pratiques et les espoirs créent un terrain analytique fertile à partir duquel nous pouvons théoriser l’avenir et la temporalité de manière plus complète.

Tatek Abebe est professeur d’études sur l’enfance et le développement à l’Université norvégienne des sciences et de la technologie (NTNU), à Trondheim, en Norvège. Il a fondé et a été le coordinateur du réseau nordique de recherche sur les enfants et les jeunes africains (2011-2016). En 2017, il a été directeur de l’Institut de l’enfance et de la jeunesse du CODESRIA. Il fait partie du comité de rédaction de plusieurs revues, notamment Childhood, Children’s Geographies et l’Ethiopian Journal of Environment and Development.

Africa and Development Challenges in the New Millennium: The NEPAD Debate (Printed)

In 2001 NEPAD – the New Partnership for Africa’s Development – was launched by South African President Thabo Mbeke and Abdoulaye Wade, President of Senegal. Its founding assumption was that African governments had to take much more responsibility for their economic, political and social policy if real development were to be achieved. AFRICA & DEVELOPMENT CHALLENGES IN THE NEW MILLENNIUM is the first major attempt by African scholars and policy makers to evaluate the meaning of NEPAD in concrete terms. The authors raise key questions about NEPAD’s ability to integrate Africa with the global economy, to overcome the challenge of poverty, and to bring about regional development. The book also addresses what NEPAD means for agriculture, industrialisation, trade and the « digital divide ». This is an important contribution to our understanding of NEPAD, why it has already run into extensive criticism, and the prospects for a new, more positive chapter in Africa’s development.

Coloniality of Power in Postcolonial Africa – Myths of Decolonization

Coloniality of Power in Postcolonial Africa – Myths of Decolonization

 

Coloniality of Power marries the historical complexities of the past with the ambiguities of the present to expose the obstacles imposed by domination and exploitation, while at the same time revealing the oppositional strategies of intellectual and other forms of everyday and organized resistance and nationalism on behalf of the ongoing project of nation building. The urgency of the moment drives the practical insurgencies to produce The Africa We Want.

Toyin Falola, Professor and author of Decolonizing African Studies

“Ndlovu-Gatsheni demonstrates an encyclopedic knowledge of post-colonial and colonial theory in his evaluation of current African problems.” (From review of Coloniality of Power in Journal of Retracing Africa)

Jason Morgan, University of Texas at Austin

“To decolonise is not automatically to emancipate; to proclaim the postcolonial is not necessarily to end dependency. These terms become often a rhetoric to avoid a sometimes painful exploration and interrogation of the contradictions involved in the long road to true and authentic freedoms. Sabelo Ndlovu-Gatsheni’s startling and important new book refuses us the luxury of rhetoric and invites us to go very much deeper.”

Stephen Chan, Professor of World Politics, SOAS, University of London

“Lusofonia” em Africa: Historia,Democracia e integraçao Africana (Printed)

This innovative work is the first CODESRIA has published in Portuguese, and the first scholarly work the institution has published on the politics, economics and societies of the Portuguese-speaking African countries, authored by social scientists from those countries. In its engagement with the Portuguese-speaking social science communities in Africa, the publication represents an important milestone for CODESRIA, and a symbolic moment in the development of Lusophone studies on the continent. The collection of essays grew out of CODESRIA’s ‘Lusophonia’ initiative, launched at an international symposium in May 2005 which brought together over 60 academics, mostly from the Lusophone African countries, as well as from African studies institutions in Portugal and Brazil, to reflect on the history, democracy and integration of the Portuguese speaking countries. The objectives of the Lusophonia initiative are to give a voice to social scientists from Portuguese speaking countries; centre debates on the priorities identified by the local academic communities; establish an integrated body of researchers based in the Portuguese speaking countries and integrate these into CODESRIA’s wider research programmes to the benefit of the wider research communities; and to strengthen capacity in the social sciences and comparative studies in the Lusophone environment in Africa.

From National Liberation to Democratic Renaissance in Southern Africa (Printed)

Today, much research is being devoted to the key actors and factors of the southern African liberation project: the dynamism of post-liberation statecraft; the pursuit of truth and reconciliation; affirmative action and black economic empowerment; post-liberation identities and xenophobia; the problems and prospects of democratic renewal; post- liberation economics from the point of view of national liberation projects; regionalism, regional initiatives such as NEPAD; the region’s relationship with the rest of the continent; and diaspora linkages.

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