Africa and the Disruptions of the Twenty-first Century
$18 – $30
This collection of essays interrogates the repositioning of Africa and its diasporas in the unfolding disruptive transformations of the early twenty-first century. It is divided into five parts focusing on America’s racial dysfunctions, navigating global turbulence, Africa’s political dramas, the continent’s persistent mythologisation and disruptions in higher education. It closes with tributes to two towering African public intellectuals, Ali Mazrui and Thandika Mkandawire, who have since joined the ancestors.
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Social Policy in the African Context (Ebook)
The ‘counter-revolution’ in Development Economics in the 1980s fundamentally altered the way the state ‘thinks’, which is evident in the state’s retrenchment and reconstitution of the state’s relationship to its citizens. The combination of deflationary macroeconomic policies and a residual approach to social policy, broadly, and social provisioning, more specifically, fundamentally altered the post-colonial trajectory of public policy in Africa. Despite the neoliberal ascendance that nurtured the more residual direction of social policy, the contention for an alternative vision of social policy remained and advanced with vigour. Specific contributions range from the deployment of social policy in framing the nation-building project, endogenous mutual support institutions, land and agrarian reform as a social policy instrument, the gender dynamics of social policy, and the mechanism enabling the spread of cash transfer schemes on the continent.
Genre et fondamentalismes/Gender and Fundamentalisms
À partir de quels moments, pour quelles raisons et de quelles manières, la religion et la culture, lorsqu’elles se lient au politique, peuvent-elles être à la fois sources et lieux d’expression des fondamentalismes ? Ce sont les questions centrales qui traversent ce livre. Ce qui est considéré ici, c’est « la religion » lorsqu’elle est idéologie qui fonde la culture et devient outil d’accès au pouvoir moral, au pouvoir social et surtout au pouvoir politique. Les messages culturels et religieux et leurs interprétations sous-tendent souvent les décisions, les lois et les programmes prises par le politique. Ils ont des effets directs sur la société, en général, et sur les femmes et les rapports de genre, en particulier. Les contributions à cet ouvrage analysent les diverses formes du fondamentalisme dans quelques pays africains, leurs contextes d’émergence et la manière dont elles (re)façonnent les identités et les rapports hommes/femmes. Ces fondamentalismes constituent des sources de préoccupations persistantes dans les débats de société, aussi bien des organisations féministes et féminines que des mondes académiques et politiques. Les manipulations des cultures et des religions se font de plus en plus politiques et finissent par occasionner des discriminations sociales, voire des violences physiques, morales et symboliques assurément insoutenables.
Fatou Sow, sociologue, est titulaire d’un Doctorat de 3e cycle (Paris-Sorbonne) et d’une Habilitation à diriger des recherches en sociologie (Paris denis-Diderot). Elle est, depuis 2008, la directrice du Réseau international de solidarité Women Living Under Muslim Laws (Londres, UK).
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African Literature as Political Philosophy (Printed)
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The politics of development in Africa have always been central concerns of the continent’s literature. Yet ideas about the best way to achieve this development, and even what development itself should look like, have been hotly contested.
African Literature as Political Philosophy looks in particular at Achebe’s Anthills of the Savannah and Petals of Blood by Ngugi wa Thiong’o, but situates these within the broader context of developments in African literature over the past half-century, discussing writers from Ayi Kwei Armah to Wole Soyinka. M.S.C. Okolo provides a thorough analysis of the authors’ differing approaches and how these emerge from the literature. She shows the roots of Achebe’s reformism and Ngugi’s insistence on revolution and how these positions take shape in their work. Okolo argues that these authors have been profoundly affected by the political situation of Africa, but have also helped to create a new African political philosophy.
Libéralisation et développement économiques en Afrique (Printed)
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Dans son discours délivré à la clôture de la 11ème Assemblée Générale du CODESRIA, à Maputo en 2005, Jomo Kwame Sundaram remarque que plus de trois décennies de stagnation économique, de privation et d’une pauvreté agrandissante ont gravement affecté le tissu économique, social et politique de l’Afrique. Par conséquent, des efforts proactifs sont d’une urgente nécessité pour la création de capacités durables pour le développement. Sundaram défend que l’opinion générale sur le développement de l’Afrique et la pauvreté est souvent erroné et dangereux. Même le FMI a reconnu que la libéralisation financière internationale n’a fait qu’exacerber la volatilité. Encore pire, des preuves tangibles ont été fournies sur le fait que certaines recommandations avancées sur la politique économique et les conditionnalités imposées aux gouvernements africains ont reflété le manque de désintérêt et la préjudice de la part de ceux qui sont supposés aider l’Afrique. C’est en tenant compte du fait que la croissance économique et le développement ne réduisent pas nécessairement la pauvreté et les inégalités que Sundaram appelle à un ‘espace politique’ élargi afin que les gouvernements africains puissent choisir ou mettre sur pied leur propre stratégies de développement, mais aussi développer et mettre en oeuvre des politiques de développement qui sont plus appropriées.
History, Democracy, Values: New Lines of Reflection (Printed)
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At the 11th General Assembly of CODESRIA, which was held in Maputo in December 2005, Adame Ba Konaré presented the Leopold Sedar Senghor Lecture, casting her historian eye on democracy and its values. Konaré calls for the enshrinement of democracy in Africa, where citizens are free to participate responsibly in decision-making on matters of common interest, and in ways that simply do not mimic externally induced notions or reflect unquestioningly the will of Heads of State.
Le développement synonyme de modernité, la modernité synonyme de développement (Printed)
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Cet ouvrage analyse l’impact de l’idée occidentale de la « modernité » sur le développement et le sous-développement en Afrique. Il retrace la généalogie de l’idée occidentale de la modernité depuis les concepts européens des Lumières sur la nature universelle de l’histoire humaine et du développement. L’ouvrage montre comment cette idée a été utilisée pour justifier l’exploitation et l’oppression de l’Afrique par l’Occident. Il soutient que le développement contemporain en théorie et en pratique est une continuation du projet des Lumières, et que l’Afrique ne peut atteindre un véritable développement qu’en rejetant la modernité occidentale et en inventant ses propres formes de modernité.
Economic Liberation and development in Africa (Printed)
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In this endnote address delivered at the 11th General Assembly of CODESRIA, held in Maputo in 2005, Jomo Kwame Sundaram notes that over three decades of economic stagnation, contraction and increased poverty have taken a huge toll on Africa’s economic, social and political fabric; and pro-active efforts are urgently required in order to build new capacities and capabilities for development. He argues that much of the ostensible conventional wisdom regarding African development and poverty is often both erroneous and harmful.
Even the IMF has acknowledged that international financial liberalization has exacerbated volatility. Worse still, there is strong evidence that some of the economic policy advice given to, and conditionalities imposed on governments in Africa have reflected vested interests and prejudice. In view of these, and the fact that economic growth and development do not necessarily reduce poverty and inequalities, Sundaram calls for greater ‘policy space’ for African governments to choose or design their own development strategies, as well as develop and implement more appropriate development policies.