$6
Tenkir Bonger
ISBN: 0850-2633
CODESRIA 1996
This overarching economic and sociological study of to the Zimbabwean situation in the wider context of global capitalism offers refreshing contextual analysis, challenging the more common approaches to the crisis from perspectives of human rights, racial identities and local political conflicts.
Today, much research is being devoted to the key actors and factors of the southern African liberation project: the dynamism of post-liberation statecraft; the pursuit of truth and reconciliation; affirmative action and black economic empowerment; post-liberation identities and xenophobia; the problems and prospects of democratic renewal; post- liberation economics from the point of view of national liberation projects; regionalism, regional initiatives such as NEPAD; the region’s relationship with the rest of the continent; and diaspora linkages.
Le quota est mort, vive le quota! Ou les vicissitudes de la réglementation de l’exploitation du charbon de bois au Sénégal (Printed)
Birago Diop nous rappelait déjà que « les morts ne sont pas morts! » Cette vérité hypothétique est peut-être valable pour le quota. En effet, malgré son élimination juridique, le quota résiste et continue d’exister. Sa « mort » annoncée tarde à se réaliser. La question n’est plus de savoir si le quota doit « mourir ». Sa « mort » est prononcée comme une sentence que le « bourreau » n’ose pas exécuter. La question est plutôt de savoir combien de temps va encore durer la « lutte contre la mort » que le quota a engagée. Le quota est « mort » juridiquement. Mais il a survécu dans la pratique. Aussi, le quota est-il à l’image d’un être « vivant surnaturel ». Il est né, a vécu, est mort et est ressuscité. Si sa naissance a été précipitée et sa vie tumultueuse, sa mort, elle, a été programmée et sa résurrection était prévisible. En fait, en 1996, le Sénégal se dote d’un code des collectivités locales qui prévoit le transfert de compétences de l’État vers les collectivités locales ; parmi ces compétences, la gestion de l’environnement et des ressources naturelles. Le code forestier de 1998 a clairement exprimé la volonté du législateur de consacrer la décentralisation forestière. C’est ainsi que le système du quota devait être supprimé depuis le 21 février 2001. Il devait être remplacé par l’aménagement qui transfère les compétences de gestion de l’exploitation forestière aux élus locaux. Cependant, les plans d’aménagement ont du mal à se concrétiser. Si, le code forestier du Sénégal de 1998 constitue un cadre propice pour réaliser une décentralisation dans le secteur forestier, conformément à la décentralisation politico-administrative, la décentralisation forestière reste inachevée. Elle reste bloquée en large partie par la survivance du système des quotas.
Les rapports sociaux de genre connaissent depuis quelques années des mutations significatives en Afrique et dans le monde. En effet, la vague de démocratisation qui souffle sur le continent depuis le début des années quatre-vingts et les transitions politiques qui en découlent engendrent une participation croissante des femmes dans la sphère publique. Sur le plan économique, les femmes déploient de nombreuses stratégies afin de s’assurer une certaine autonomie financière et, partant une capacité à s’affirmer au sein du ménage qui relèverait du domaine privé. Mais en même temps, les rapports sociaux de genre dans les sphères publique et privée restent encore marquées par la discrimination, l’inégalité, et la violence dont la majorité des victimes seraient des femmes.
L’industrie musicale au Sénégal : Essai d’analyse (Printed)
Des logiques d’actions plurielles et différentes dimensions sous-tendent la construction du fait musical au Sénégal, produite par plusieurs pôles d’acteurs interagissant entre des structures contraignantes et une relative autonomie. Dans une industrie musicale marquée par de profondes mutations socioculturelles et socioéconomiques, « informel de la musique » et processus de « formalisation » cohabitent de manière problématique. L’industrie musicale, en expansion, est dès lors appelée à s’organiser selon un cadre véritablement formel. La question des droits d’auteur à travers les règles de rémunération et leur application est alors instamment posée. Parallèlement, la politique culturelle de l’Etat, ainsi que les liens, selon diverses modalités, entre champ musical et politique, sont passés en revue. Cet essai tente de poser un certain nombre de questions et se présente en définitive comme une invite à la réflexion et à l’action.
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