Africa and the Disruptions of the Twenty-first Century
$18 – $30
This collection of essays interrogates the repositioning of Africa and its diasporas in the unfolding disruptive transformations of the early twenty-first century. It is divided into five parts focusing on America’s racial dysfunctions, navigating global turbulence, Africa’s political dramas, the continent’s persistent mythologisation and disruptions in higher education. It closes with tributes to two towering African public intellectuals, Ali Mazrui and Thandika Mkandawire, who have since joined the ancestors.
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Genre et fondamentalismes/Gender and Fundamentalisms
À partir de quels moments, pour quelles raisons et de quelles manières, la religion et la culture, lorsqu’elles se lient au politique, peuvent-elles être à la fois sources et lieux d’expression des fondamentalismes ? Ce sont les questions centrales qui traversent ce livre. Ce qui est considéré ici, c’est « la religion » lorsqu’elle est idéologie qui fonde la culture et devient outil d’accès au pouvoir moral, au pouvoir social et surtout au pouvoir politique. Les messages culturels et religieux et leurs interprétations sous-tendent souvent les décisions, les lois et les programmes prises par le politique. Ils ont des effets directs sur la société, en général, et sur les femmes et les rapports de genre, en particulier. Les contributions à cet ouvrage analysent les diverses formes du fondamentalisme dans quelques pays africains, leurs contextes d’émergence et la manière dont elles (re)façonnent les identités et les rapports hommes/femmes. Ces fondamentalismes constituent des sources de préoccupations persistantes dans les débats de société, aussi bien des organisations féministes et féminines que des mondes académiques et politiques. Les manipulations des cultures et des religions se font de plus en plus politiques et finissent par occasionner des discriminations sociales, voire des violences physiques, morales et symboliques assurément insoutenables.
Fatou Sow, sociologue, est titulaire d’un Doctorat de 3e cycle (Paris-Sorbonne) et d’une Habilitation à diriger des recherches en sociologie (Paris denis-Diderot). Elle est, depuis 2008, la directrice du Réseau international de solidarité Women Living Under Muslim Laws (Londres, UK).
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Coloniality of Power in Postcolonial Africa – Myths of Decolonization
Coloniality of Power in Postcolonial Africa – Myths of Decolonization
Coloniality of Power marries the historical complexities of the past with the ambiguities of the present to expose the obstacles imposed by domination and exploitation, while at the same time revealing the oppositional strategies of intellectual and other forms of everyday and organized resistance and nationalism on behalf of the ongoing project of nation building. The urgency of the moment drives the practical insurgencies to produce The Africa We Want.
Toyin Falola, Professor and author of Decolonizing African Studies
“Ndlovu-Gatsheni demonstrates an encyclopedic knowledge of post-colonial and colonial theory in his evaluation of current African problems.” (From review of Coloniality of Power in Journal of Retracing Africa)
Jason Morgan, University of Texas at Austin
“To decolonise is not automatically to emancipate; to proclaim the postcolonial is not necessarily to end dependency. These terms become often a rhetoric to avoid a sometimes painful exploration and interrogation of the contradictions involved in the long road to true and authentic freedoms. Sabelo Ndlovu-Gatsheni’s startling and important new book refuses us the luxury of rhetoric and invites us to go very much deeper.”
Stephen Chan, Professor of World Politics, SOAS, University of London
Le quota est mort, vive le quota! Ou les vicissitudes de la réglementation de l’exploitation du charbon de bois au Sénégal (Printed)
Le quota est mort, vive le quota! Ou les vicissitudes de la réglementation de l’exploitation du charbon de bois au Sénégal (Printed)
Birago Diop nous rappelait déjà que « les morts ne sont pas morts! » Cette vérité hypothétique est peut-être valable pour le quota. En effet, malgré son élimination juridique, le quota résiste et continue d’exister. Sa « mort » annoncée tarde à se réaliser. La question n’est plus de savoir si le quota doit « mourir ». Sa « mort » est prononcée comme une sentence que le « bourreau » n’ose pas exécuter. La question est plutôt de savoir combien de temps va encore durer la « lutte contre la mort » que le quota a engagée. Le quota est « mort » juridiquement. Mais il a survécu dans la pratique. Aussi, le quota est-il à l’image d’un être « vivant surnaturel ». Il est né, a vécu, est mort et est ressuscité. Si sa naissance a été précipitée et sa vie tumultueuse, sa mort, elle, a été programmée et sa résurrection était prévisible. En fait, en 1996, le Sénégal se dote d’un code des collectivités locales qui prévoit le transfert de compétences de l’État vers les collectivités locales ; parmi ces compétences, la gestion de l’environnement et des ressources naturelles. Le code forestier de 1998 a clairement exprimé la volonté du législateur de consacrer la décentralisation forestière. C’est ainsi que le système du quota devait être supprimé depuis le 21 février 2001. Il devait être remplacé par l’aménagement qui transfère les compétences de gestion de l’exploitation forestière aux élus locaux. Cependant, les plans d’aménagement ont du mal à se concrétiser. Si, le code forestier du Sénégal de 1998 constitue un cadre propice pour réaliser une décentralisation dans le secteur forestier, conformément à la décentralisation politico-administrative, la décentralisation forestière reste inachevée. Elle reste bloquée en large partie par la survivance du système des quotas.
EDUCATION FINANCING AND BUDGETARY REFORMS IN AFRICA – The Swaziland Case Study (Printed)
EDUCATION FINANCING AND BUDGETARY REFORMS IN AFRICA – The Swaziland Case Study (Printed)
This book sets out the Swaziland educational model and policies, and in the context of the management of the national economy. It shows that the proportion of the annual government budget devoted to education in Swaziland ranks amoungst the highest in Africa and many of the goals set at the world summit for children in 1990 are being achieved. There is universal access of primary education, gender equality of access across almost all levels of education. The study also shows however that less positively, the system is increasingly under financial pressure particularly to fund the growing demand for higher education, comparatively very expensive. The co-authors advocate comprehensive budgetary and financial reforms drawing up a model in line with current policy directions to increase funding for tertiary education, and so release more funds for improving quality at lower levels.