Africa and the Disruptions of the Twenty-first Century
$18 – $30
This collection of essays interrogates the repositioning of Africa and its diasporas in the unfolding disruptive transformations of the early twenty-first century. It is divided into five parts focusing on America’s racial dysfunctions, navigating global turbulence, Africa’s political dramas, the continent’s persistent mythologisation and disruptions in higher education. It closes with tributes to two towering African public intellectuals, Ali Mazrui and Thandika Mkandawire, who have since joined the ancestors.
Book Format / Format du livre | Hard Copy / Format papier, Soft Copy / Format electronique |
---|
Related products
Social Policy in the African Context (Ebook)
The ‘counter-revolution’ in Development Economics in the 1980s fundamentally altered the way the state ‘thinks’, which is evident in the state’s retrenchment and reconstitution of the state’s relationship to its citizens. The combination of deflationary macroeconomic policies and a residual approach to social policy, broadly, and social provisioning, more specifically, fundamentally altered the post-colonial trajectory of public policy in Africa. Despite the neoliberal ascendance that nurtured the more residual direction of social policy, the contention for an alternative vision of social policy remained and advanced with vigour. Specific contributions range from the deployment of social policy in framing the nation-building project, endogenous mutual support institutions, land and agrarian reform as a social policy instrument, the gender dynamics of social policy, and the mechanism enabling the spread of cash transfer schemes on the continent.
Recently Viewed
Economic Liberation and development in Africa (Printed)
Economic Liberation and development in Africa (Printed)
In this endnote address delivered at the 11th General Assembly of CODESRIA, held in Maputo in 2005, Jomo Kwame Sundaram notes that over three decades of economic stagnation, contraction and increased poverty have taken a huge toll on Africa’s economic, social and political fabric; and pro-active efforts are urgently required in order to build new capacities and capabilities for development. He argues that much of the ostensible conventional wisdom regarding African development and poverty is often both erroneous and harmful.
Even the IMF has acknowledged that international financial liberalization has exacerbated volatility. Worse still, there is strong evidence that some of the economic policy advice given to, and conditionalities imposed on governments in Africa have reflected vested interests and prejudice. In view of these, and the fact that economic growth and development do not necessarily reduce poverty and inequalities, Sundaram calls for greater ‘policy space’ for African governments to choose or design their own development strategies, as well as develop and implement more appropriate development policies.
De l’État indépendant du Congo au Zaïre contemporain (1885-1974) : pour une démystification de l’histoire économique et politique
De l’État indépendant du Congo au Zaïre contemporain (1885-1974) : pour une démystification de l’histoire économique et politique (Printed)
Qu’est-il advenu des « richesses » tant vantées du Congo ? Plus précisément, qui a bénéficié du capital accumulé par l’industrie coloniale ? Comment se fait-il que l’économie zaïroise soit restée une économie sous-développée alors que l’économie belge, elle, a prospéré ? Le triomphe actuel des multinationales, avec à leur tête le Fonds monétaire international et la Banque mondiale, aurait été préparé en fait, par les mécanismes mis en place au temps de la colonisation. Il faudrait seulement substituer « l’ajustement structurel » à la « pacification » coloniale.
En jetant un regard nouveau sur l’histoire économique du Zaïre qui remet en question le « savoir-faire colonial » et propose une interprétation enracinée dans le vécu populaire, J. Depelchin nous offre une contribution importante à l’historiographie africaine. Inciter d’autres chercheurs à s’intéresser aussi aux formes prises par les analyses du passé colonial, telle est l’ambition de l’auteur.
Ce livre s’appuie sur une documentation riche et variée.
J. Depelchin s’emploie à remettre en question les modalités de fonctionnement de l’interprétation historique, tout en procédant à une analyse minutieuse de l’impact des sociétés anonymes belges sur l’économie du Congo/Zaïre.
Jacques Depelchin est un intellectuel, un universitaire et un militant engagé en faveur de la paix, de la démocratie, de la transparence et d’une politique favorable au peuple en République démocratique du Congo.
Il est né au Congo et a étudié à l’Université Lovanium (Kinshasa) en RDC, à l’Université de Londres, à l’Université Johns Hopkins en Italie et à Stanford. Il a enseigné l’histoire de l’Afrique et d’autres sujets connexes à l’Université de Berkeley, à l’Université de Santa Cruz, à l’Université de San Francisco, à l’Université de Stanford, à l’Université de Syracuse et dans des universités de la République démocratique du Congo, du Mozambique et de la Tanzanie.
Capital Goods, Technological Change and Accumulation in Nigeria HC (Printed)
B.U.N. Igwe & A. Fadahunsi
CODESRIA, 1994, 204 p.,
ISBN : 1-870784-07-3 (cased)
Africa and the Challenges of Citizenry and Inclusion: The Legacy of Mario de Andrade (Printed)
Africa and the Challenges of Citizenry and Inclusion: The Legacy of Mario de Andrade (Printed)
At the 11th General Assembly of CODESRIA, held in Maputo in December 2005, Carlos Lopes presented the Cheikh Anta Diop Lecture on “Africa and the Challenges of Citizenry and Inclusion”, through the legacy of Mario de Andrade of Angola.
He discusses the life and times of Mário Andrade; African nationalism and its revolutionary proposals; and the triumphs and vicissitudes of Negritude and Pan-Africanism. He analyses the consequences for a country’s citizenry, inclusion and respect for identities, and concludes with implications for African intellectuals. Like Mário Andrade, who abhorred the rites associated with power and despaired at exclusionary notions of citizenship, Lopes is critical of narrow nationalism that jeopardises pan-Africanism, and calls on African intellectuals to denounce these practices in the interest of universal identity rights, based on the principle that development brings with it greater opportunities and freedom of choice.
Frontières de la citoyenneté et violence politique en Côte d’Ivoire (Printed)
Frontières de la citoyenneté et violence politique en Côte d’Ivoire (Printed)
Ce volume est à la recherche d’une explication aux événements survenus depuis 1999 en Côte-d’Ivoire, qu’il est convenu d’appeler la « crise ivoirienne ». Il semble que l’interprétation événementielle des faits apportait des explications insatisfaisantes à cette fracture profonde et que la bonne perspective conduisait obligatoirement à revisiter les catégories théoriques essentialistes que s’obstinent à nous imposer un regard faussé, alourdi par des préjugés ethnocentriques. Une prise de distance avec l’événementiel passe par un questionnement approfondi sur les causes de l’effondrement annoncé du modèle dit ivoirien; le sens historique des choses est appelé pour examiner l’enchaînement et l’interaction des faits dont il faut, à chaque fois, statuer sur le poids historique dans la direction tragique de la dynamique sociale. En cherchant les origines sociales de l’irruption de cette déchirure sociale et politique, les auteurs du volume partent tous d’une question centrale : de quelle manière le poids de la formation de la société ivoirienne moderne intervient-il sur les modalités des actions individuelles et des regroupements collectifs actuels ? La fracture brutale et violente qu’a connue la formation sociale ivoirienne pose de nouveau la question des identités collectives qui dévoile en même temps les enjeux liés au caractère inachevé de la construction des « États-nations » en Afrique. C’est une erreur, en effet, de penser que cette crise s’est spontanément déclarée dans les instances supérieures partisanes et de négliger le fait que derrière les déclarations ostentatoires à propos de l’Unité Nationale, les regroupements précoloniaux ne se sont pas complètement dissouts dans la « Nation » moderne. De plus, dans le processus de fabrication de l’espace social « national », de nouvelles combinaisons sociales s’y engagent en se réinventant continûment. Les racines des crises actuelles sont, nous semble-t-il, à chercher dans la transformation inédite que connaissent les sociétés africaines contemporaines.