Africa and the Disruptions of the Twenty-first Century
$18 – $30
This collection of essays interrogates the repositioning of Africa and its diasporas in the unfolding disruptive transformations of the early twenty-first century. It is divided into five parts focusing on America’s racial dysfunctions, navigating global turbulence, Africa’s political dramas, the continent’s persistent mythologisation and disruptions in higher education. It closes with tributes to two towering African public intellectuals, Ali Mazrui and Thandika Mkandawire, who have since joined the ancestors.
Book Format / Format du livre | Hard Copy / Format papier, Soft Copy / Format electronique |
---|
Related products
Recently Viewed
Security in Nigeria, Conceptual Issues in the Quest for Social Order and National Integration (Printed)
Security in Nigeria, Conceptual Issues in the Quest for Social Order and National Integration (Printed)
Rethinking Security in Nigeria adopts an alternate conceptual and methodological framework for rethinking national security in Nigeria by using the humanities’ multidisciplinary perspective against the backdrop of the hitherto restrictive analysis of the nature of national security. By expounding the largely unexplored cosmological, conceptual, ethical and aesthetic dimensions as key contributors to national survival and social integration, the volume argues systematically for a basic redefinition of the meanings of security, the value of life, government action and social re-engineering in order to create a new system of social order an integration. The authors attempt to extend the boundaries of previous theorizing on security by identifying alternate ethical and aesthetic approaches to national reconciliation and human development in present-day Nigeria, which faces major security challenges requiring the clarification of the basis for developing a just and harmonious society. The study is a contribution to the quest for defining the vital socio-cultural norms and doctrinal imperatives needed for responsible cooperative human action. It examines the roles of dominant works of philosophy, literature, plays and performances in the creation of a basis for political stability and social reconciliation in the society. It extends the boundaries of previous aesthetic studies and redefines the roles of ethics and aesthetics as crucial contributors to security, human development and world civilisation.
JUSTICE DURING TRANSITIONS – Policies that Reflect African Realities
JUSTICE DURING TRANSITIONS – Policies that Reflect African Realities
Transitional justice interventions, particularly in Africa, have failed. In this context, there is a growing interest in tradition-based community-led practices for resolving justice. Yet little is known or understood about these practices on their own terms, and what role they play in transitional justice on the continent. This volume challenges some of the underlying assumptions of current responses to mass violence on the continent, including the way these are embedded in state-centricism and an international justice system that lacks relevance in relation to the day-to-day realities of rural African communities. Through the case studies of Zimbabwe, Burundi and Mozambique the volume explores some of the limitations and possibilities with regard to justice during transitions.
LA DIPLOMATIE DE LA REPUBLIQUE DE GUINEE – Passé, présent et avenir
LA DIPLOMATIE DE LA REPUBLIQUE DE GUINEE
Passé, présent et avenir
La République de Guinée est devenue indépendante le 2 octobre 1958. En matière de politique étrangère, l’on constate des continuités ? travers tous les régimes en ce qui concerne certains fondements. Mais si la première République (1958-1984) a mis l’accent sur les considérations d’ordre idéologique, les régimes successifs depuis 1984 se sont concentrés plutôt sur les aspects économiques. Cet ouvrage présente les contextes géopolitiques de la diplomatie guinéenne depuis l’indépendance et porte un regard critique sur les moyens humains et les infrastructures à l’aide desquels elle s’est déployée. Il analyse la nature et les facteurs explicatifs des relations bilatérales entre la Guinée et certains des pays avec lesquels elle a entretenu des relations particulières. Il s’intéresse aussi aux actions multilatérales du pays dans les cadres notamment de la CEDEAO, de l’OUA/UA et de l’ONU. Le dernier chapitre porte un regard prospectif sur l’avenir de la diplomatie guinéenne à l’ère du numérique. Il s’appuie sur un solide rappel des théories de relations internationales dans la première partie, et une riche littérature en français et en anglais, y compris des documents officiels sur les différents aspects du livre. Il a bénéficié de beaucoup d’entretiens avec de nombreux diplomates guinéens.
Le quota est mort, vive le quota! Ou les vicissitudes de la réglementation de l’exploitation du charbon de bois au Sénégal (Printed)
Le quota est mort, vive le quota! Ou les vicissitudes de la réglementation de l’exploitation du charbon de bois au Sénégal (Printed)
Birago Diop nous rappelait déjà que « les morts ne sont pas morts! » Cette vérité hypothétique est peut-être valable pour le quota. En effet, malgré son élimination juridique, le quota résiste et continue d’exister. Sa « mort » annoncée tarde à se réaliser. La question n’est plus de savoir si le quota doit « mourir ». Sa « mort » est prononcée comme une sentence que le « bourreau » n’ose pas exécuter. La question est plutôt de savoir combien de temps va encore durer la « lutte contre la mort » que le quota a engagée. Le quota est « mort » juridiquement. Mais il a survécu dans la pratique. Aussi, le quota est-il à l’image d’un être « vivant surnaturel ». Il est né, a vécu, est mort et est ressuscité. Si sa naissance a été précipitée et sa vie tumultueuse, sa mort, elle, a été programmée et sa résurrection était prévisible. En fait, en 1996, le Sénégal se dote d’un code des collectivités locales qui prévoit le transfert de compétences de l’État vers les collectivités locales ; parmi ces compétences, la gestion de l’environnement et des ressources naturelles. Le code forestier de 1998 a clairement exprimé la volonté du législateur de consacrer la décentralisation forestière. C’est ainsi que le système du quota devait être supprimé depuis le 21 février 2001. Il devait être remplacé par l’aménagement qui transfère les compétences de gestion de l’exploitation forestière aux élus locaux. Cependant, les plans d’aménagement ont du mal à se concrétiser. Si, le code forestier du Sénégal de 1998 constitue un cadre propice pour réaliser une décentralisation dans le secteur forestier, conformément à la décentralisation politico-administrative, la décentralisation forestière reste inachevée. Elle reste bloquée en large partie par la survivance du système des quotas.