Dead-end to Nigerian Development (Hard Cover)
$13
Okwudiba Nnoli
CODESRIA, 1993, 264 p.
ISBN : 2-86978-021-4 (cased)
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Social Policy in the African Context (Ebook)
The ‘counter-revolution’ in Development Economics in the 1980s fundamentally altered the way the state ‘thinks’, which is evident in the state’s retrenchment and reconstitution of the state’s relationship to its citizens. The combination of deflationary macroeconomic policies and a residual approach to social policy, broadly, and social provisioning, more specifically, fundamentally altered the post-colonial trajectory of public policy in Africa. Despite the neoliberal ascendance that nurtured the more residual direction of social policy, the contention for an alternative vision of social policy remained and advanced with vigour. Specific contributions range from the deployment of social policy in framing the nation-building project, endogenous mutual support institutions, land and agrarian reform as a social policy instrument, the gender dynamics of social policy, and the mechanism enabling the spread of cash transfer schemes on the continent.
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West Africa’s Trouble Spots and the Imperative for Peace -Building (Printed)
West Africa’s Trouble Spots and the Imperative for Peace -Building
This monograph highlights the necessity for taking preventive measures in the form of peace-building as a sustainable and long-term solution to conflicts in West Africa, with a special focus on the Mano River Union countries. Apart from the Mano River Union countries, efforts at resolving other conflicts in say, Guinea Bissau, Senegal, C?te d’Ivoire and Nigeria, have suffered from a lack of attention on the post-conflict imperatives of building peace in order to ensure that sustainable peace is achieved. Given the often intractable and inter-related nature of conflicts in this region, it argues for the need to revisit the existing mechanisms of conflict resolution in the sub-region with a view to canvassing a stronger case for stakeholders towards adopting the peace-building strategy as a more practical and sustainable way of avoiding wars in the sub-region. Peace-building in consonance with its infrastructure is a more sustainable approach to ensuring regional peace and stability and, therefore, ensuring development for the peoples of West Africa. Dr Osita Agbu is currently a Senior Research Fellow at the Nigerian Institute of International Affairs, Lagos. His areas of specialization include Peace and Conflict studies, Governance and Democratization and Technology and Development. He was until recently, a Visiting Research Fellow at the Institute of Developing Economies, Chiba, Japan.
L’État marocain dans la durée (1850-1985)
Abdelali Doumou
CODESRIA, 1987, 172 p
ISBN 2-86978-001-x
Le post modernisme et le nouvel esprit du capitalisme sur une philosophie globale d’Empire (printed)
Le post modernisme et le nouvel esprit du capitalisme sur une philosophie globale d’Empire (printed)
L’idée de ce livre est née d’une controverse avec une certaine jeunesse africaine fascinée par la civilisation du virtuel. L’auteur a voulu ici faire douter cette génération en mettant en évidence les desseins secrets du postmodernisme qu’il décrit comme une idéologie de la mondialisation ou du libre jeu des marchés. Le livre montre que l’ère postmoderne continue et accomplit l’époque structurale, et qu’à ce titre, il constitue une philosophie des contraintes. Tous affichent leurs desseins totalitaires, tout en feignant de critiquer l’idée de totalité. Détruisant le mythe universaliste qui accompagne la postmodernité, le livre se prononce en faveur d’un universalisme démocratique, fondé sur la réhabilitation de la valeur d’usage. Il se conclut par une réflexion générale sur le problème de la faillite de la modernité, que ce livre situe au niveau de la contradiction entre la modernité économique et la modernité sociale; le refus de cette dernière expliquant les nostalgies anti et pré-modernes d’une doctrine conservatrice au service de la polarisation du monde.
L’Afrique face aux enjeux de la citoyenneté et de l’inclusion: l’héritage de Mario de Andrade (Printed)
L’Afrique face aux enjeux de la citoyenneté et de l’inclusion: l’héritage de Mario de Andrade
A la 11ème Assemblée générale du CODESRIA qui s’est tenue à Maputo en décembre 2005, Carlos Lopes a prononcé le Discours Cheikh Anta Diop sur ‘L’Afrique face aux enjeux de la citoyenneté et de l’inclusion : l’héritage de Mário de Andrade’ de l’Angola. Il examine la vie et l’époque de Mário Andrade, le nationalisme africain et ses propositions révolutionnaires en plus des triomphes et vicissitudes de la négritude et du panafricanisme. Il analyse les conséquences pour les citoyens de ces pays, l’inclusion et le respect pour les identités. Il conclue son intervention par leurs implications de tous ces facteurs pour les intellectuels africains. A l’instar de Mario de Andrade qui détestait les rites associés au pouvoir et qui avait honte des notions de citoyenneté exclusivistes. Lopes fait une critique sur le nationalisme étroit qui met en danger le panafricanisme. Il fait appel aux intellectuels africains pour la dénonciation de ces pratiques dans l’intérêt des droits universels basés sur le principe que le développement amène plus d’opportunités et de liberté de choix.
Le quota est mort, vive le quota! Ou les vicissitudes de la réglementation de l’exploitation du charbon de bois au Sénégal (Printed)
Le quota est mort, vive le quota! Ou les vicissitudes de la réglementation de l’exploitation du charbon de bois au Sénégal (Printed)
Birago Diop nous rappelait déjà que « les morts ne sont pas morts! » Cette vérité hypothétique est peut-être valable pour le quota. En effet, malgré son élimination juridique, le quota résiste et continue d’exister. Sa « mort » annoncée tarde à se réaliser. La question n’est plus de savoir si le quota doit « mourir ». Sa « mort » est prononcée comme une sentence que le « bourreau » n’ose pas exécuter. La question est plutôt de savoir combien de temps va encore durer la « lutte contre la mort » que le quota a engagée. Le quota est « mort » juridiquement. Mais il a survécu dans la pratique. Aussi, le quota est-il à l’image d’un être « vivant surnaturel ». Il est né, a vécu, est mort et est ressuscité. Si sa naissance a été précipitée et sa vie tumultueuse, sa mort, elle, a été programmée et sa résurrection était prévisible. En fait, en 1996, le Sénégal se dote d’un code des collectivités locales qui prévoit le transfert de compétences de l’État vers les collectivités locales ; parmi ces compétences, la gestion de l’environnement et des ressources naturelles. Le code forestier de 1998 a clairement exprimé la volonté du législateur de consacrer la décentralisation forestière. C’est ainsi que le système du quota devait être supprimé depuis le 21 février 2001. Il devait être remplacé par l’aménagement qui transfère les compétences de gestion de l’exploitation forestière aux élus locaux. Cependant, les plans d’aménagement ont du mal à se concrétiser. Si, le code forestier du Sénégal de 1998 constitue un cadre propice pour réaliser une décentralisation dans le secteur forestier, conformément à la décentralisation politico-administrative, la décentralisation forestière reste inachevée. Elle reste bloquée en large partie par la survivance du système des quotas.
Human Rights, Regionalism and democracy in Africa (Printed)
Human Rights, Regionalism and democracy in Africa (Printed)
It has often been argued that the concept of human rights is an artefact of modern Western civilisation, that human rights in the South are privileges conferred. These approaches have taken little cognisance of the place accorded to the societal rights held in such esteem as complementary to individual rights in traditional African society. In contrast, this study argues that human rights in Africa are as much about the dignity of Africans as about the commitments of others towards them. It argues for a critical defence of universal human rights within a multicultural framework. From historical perspectives, it illustrates how the slave trade, and then colonialism undermined the traditional balance of individual and societal rights.
The work further traces the rise and fall and rise again of the human rights agenda in the post-independence period. It discusses the achievements of the African Commission and the African Union, and suggests ways of strengthening the human rights framework on the continent. The book came out of a conference that took place in Uppsala, Sweden in 2004 involving practitioners, scholars and activists in the field of human tights in Africa.